Au revoir et merci Nina !

Après plus de 10 ans au VBR, Nina MIGNACABAL, jeune joueuse de l’équipe réserve qui évoluait en championnat pré-national la saison dernière, ne sera plus des nôtres pour la saison 2020/2021…

Découvrez l’interview faite par Maximilien De Parmentier

Plus de 10 saisons au VBR, cela doit faire un tas de souvenirs ?! Parmi ces souvenirs, si tu devais me citer le plus beau, ce serait lequel ?

Je pense toutes nos années en benjamines/minimes avec Fred où nous sommes allées loin en coupe de France ainsi que nos nombreuses victoires en championnat régional puis l’apothéose avec Kamel qui a cru en nous dès le début et qui nous a amenés aux phases finales de CDF M17. Dans cette aventure, la plus belle victoire et je pense que toute l’équipe de cette année-là peut confirmer, a été celle de notre accession au 7ᵉ tour à Cannes ou nous battions notre record et où nous battions une grosse équipe que nous pensions imbattable, Sainte Maxime.

J’ai eu la chance de te côtoyer en tant que Volontaire pour le Service Civique, je pense savoir ce que représente pour toi ces nombreuses saisons au VBR, mais toi comment tu décrirais ton aventure dans ce club ?

J’ai vécu des moments magnifiques remplis de stress, bonheur et adrénaline. Des déplacements de fou, avec une super bande de copines. Tout n’a pas été toujours rose pour moi mais je n’oublierai pas la marque de confiance de Fred et de Kamel à mon égard durant toutes ces années. Hélas ma fin d’aventure avec le VBR a été plus chaotique.

Si les rumeurs sont exactes, tu vas continuer ton aventure Volley sur Lyon où tu fais actuellement tes études, peux-tu nous en dire d’avantage ou c’est encore trop tôt ?

Pour l’instant c’est encore trop tôt mais j’ai des contacts avec un club lyonnais mais il est sûr que je ne continue pas à Romans.

En plus de 10 ans, tu as connu plusieurs cycles de supporters, bénévoles au VBR, aurais-tu un message à leur adresser ?

Pour en revenir à ces belles années de coupe de France et cette belle bande de copines. Il ne faut pas oublier la bande de parents très chaux bouillants au bord des terrains qui nous ont suivis dans toute la France et sans qui nous ne serrions certainement pas allés aussi loi.